
Le taux de couverture de la consommation par la production nationale de sucre a chuté de 50 % en 2019 à 23 % en 2025. En conséquence, l’État marocain a dépensé 6,2 milliards de dirhams en 2024 pour la compensation du sucre.
Or, le sucre en pain, destiné au commun des mortels, représente seulement 23 % de la consommation nationale.
Question clé : faut-il continuer à subventionner massivement le sucre ou envisager une réforme ciblée pour mieux équilibrer les finances de l’État ?