Après avoir ouvert des filiales en Chine et aux États-Unis, le groupe espagnol Atlántica a constitué de nouvelles filiales au Brésil et au Maroc pour être présent sur ces importants marchés agricoles.
Le groupe Alicante a mis en place un plan de croissance sur 5 ans qui prévoit une consolidation au niveau international avec des filiales dans différents pays d’Amérique, d’Afrique et d’Asie.
« L’avenir du Grupo Atlántica est très prometteur », déclare sa PDG Marta Gutiérrez. « Nous continuerons à investir dans la recherche et le développement pour lancer de nouveaux produits et solutions qui répondent aux défis des agriculteurs et de la planète. Notre objectif est de continuer à être leader dans le secteur et de contribuer à un avenir plus durable pour tous », a-t-elle déclaré.
Grupo Atlántica, l’entreprise d’Alicante fournissant des solutions naturelles de bionutrition, de biostimulation et de biocontrôle pour l’agriculture, a augmenté son chiffre d’affaires en 2023 de 18 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 47 millions d’euros.
Une croissance qui s’est également traduite par une forte amélioration de l’EBITDA, de 36%, qui s’élève à 9,5 millions d’euros, un chiffre record pour l’entreprise. L’entreprise familiale attribue cette évolution à son fort engagement dans le domaine des micro-organismes symbiotiques, où le Grupo Atlántica propose des solutions qui garantissent un écosystème alimentaire efficace.
Pour y parvenir, Atlántica a réalisé des investissements en recherche et développement de 2,7 millions d’euros qui ont permis à l’entreprise de lancer de nouveaux produits, d’améliorer et d’élargir ses processus de production. Elle a également élargi sa capacité de production de ses propres souches de micro-organismes symbiotiques, avec la création de laboratoires spécifiques et exclusifs, dotés de la technologie la plus avancée, et d’une nouvelle ligne de conditionnement qui garantit la capacité d’approvisionnement de l’entreprise, pour rester en avance sur le marché en pleine croissance. demande du marché. Source: eleconomista.es
