En 2022, le Qatar est devenu le plus grand bénéficiaire arabe d’IDE , avec une valeur d’environ 29,7 milliards de dollars, indique un rapport, ajoutant que l’Arabie saoudite arrive en deuxième position avec 13,2 milliards de dollars.
Le Maroc arrive en troisième position avec 15,3 milliards de dollars d’IDE, suivi des Émirats arabes unis avec près de 10,8 milliards de dollars et de l’Égypte avec 10,6 milliards de dollars, a montré un récent rapport du Fonds monétaire arabe (AMF), basé à Abu Dhabi.
Il est souligné que 2022 a été une année record pour les investissements directs étrangers (IDE) dans des projets dans la région arabe, s’élevant à près de 200 milliards de dollars, soit environ 13 % des investissements totaux de 1 507 milliards de dollars au cours de la période 2003-2022.
Les investisseurs étrangers ont injecté plus de 1 500 milliards de dollars dans des projets dans les pays arabes au cours des 20 dernières années et 2022 a été une année record pour de tels investissements, note-t-on. Quelque 9 854 entreprises étrangères, principalement d’Asie et d’Occident, ont investi ces fonds dans 16 153 projets dans les domaines des énergies renouvelables, des produits chimiques, de l’industrie, de l’énergie et d’autres secteurs, a montré un récent rapport du Fonds monétaire arabe (AMF), basé à Abu Dhabi.
Le rapport montre que 2008 a été une autre année chargée pour les IDE dans le monde arabe malgré l’effondrement des marchés mondiaux, avec des investissements d’environ 167,9 milliards de dollars.
Les IDE les plus faibles ont été enregistrés en 2020 en raison de la propagation de la pandémie de coronavirus, avec des entrées de capitaux étrangers s’élevant à environ 32,2 milliards de dollars, selon le rapport. Agences
