Après un interrogatoire d’une heure et demie, le juge du Tribunal national, Santiago Pedraz, a une nouvelle fois refusé d’envoyer en prison provisoire ou de retirer le passeport au chef du Front Polisario, Brahim Gali, considérant qu’il n’y a pas de « risque de fuite » ni même de preuves probantes à le croire « responsable de tout crime », rapporte la presse espagnole.
L’avocat de Ghali s’était montré « optimiste » soulignant que Ghali est entré en Espagne avec son passeport. Déclaration appuyée sur l’annonce du magistrat qui a voulu préciser à ce stade qu’il n’y a aucune preuve « qu’il a fait usage de faux documents ». Interrogé sur la durée du séjour de son client en Espagne, il a répondu qu’il devrait attendre que Pedraz se résolve, selon Europa press. A suivre !
